Que fait Karim chez Ceres ? Et comment veille-t-il à ce que les boulangers ne profitent que de la meilleure farine et du soutien le plus efficace ? Vous le lirez ici en cinq courtes questions et réponses.
Je suis électromécanicien. Je travaille en équipe de jour et une fois toutes les 3 semaines, je suis de garde la nuit de 22 h à 6 h, pendant une semaine.
Depuis septembre 2014.
Chaque journée est différente puisque j’interviens à la demande de mes collègues quand ils constatent une panne ou une anomalie dans quatre domaines différents : l’électricité (y compris en 380 V), la mécanique industrielle (y compris les interventions en fine mécanique), la mécanique pneumatique (air comprimé) et la mécanique hydraulique (huile). Dans tous ces domaines, le collègue qui me contacte pose un pré-diagnostic et me demande de passer pour établir un diagnostic et prendre les mesures qui s’imposent pour réparer la panne.
Tout d’abord la grande diversité du job et son utilité. Chaque intervention est différente et il y a toujours de nouveaux éléments à découvrir. Ensuite, comme mon père avait un garage, je suis né dans la mécanique. Contrairement à mon père, je n’ai pas mon propre garage parce que j’ai choisi de travailler en usine, ce que je fais depuis 25 ans. Je suis donc pleinement dans mon élément et heureux de travailler dans ce domaine.
J’ai une préférence pour les ‘pains à l’ancienne’, sans améliorants ni additifs. Et parmi ceux-ci j’adore les pains multicéréales, comme Cereform ou Multiflocons. Mais j’apprécie aussi beaucoup les croissants de Ceres, faits à partir de Cerecroissant. Ils sont délicieux !